Écrit dans son journal personnel pendant des périodes de guerre et de peste, cette citation reflète l'approche stoïque de Marc Aurèle face aux circonstances échappant à son contrôle. En tant qu'empereur confronté à des défis constants - des invasions germaniques à la peste antonine - Aurèle a développé cette philosophie d'acceptation non pas comme une résignation passive, mais comme une approche pratique pour faire face à l'adversité. La citation provient de ses réflexions sur le maintien de l'équilibre tout en gouvernant un empire en crise, soulignant l'importance de s'adapter plutôt que de lutter contre des circonstances inévitables.